Articles

Avec SOLFA, deux ans de progrès dans la prise en charge des victimes à Douai

L’unique centre d’accueil de jour pour femmes violentées de Douai a été  créé il y a près de deux ans, par Solfa. Depuis juillet 2020, des hébergements  d’urgence sont proposés dans l’agglomération. Selon des femmes  accueillies, cette association leur « a sauvé la vie ». Reportage. Un lundi printanier, aux alentours de 11 heures, la …

“Les femmes étrangères subissent une double discrimination, celle d’être femme et étrangère”

En France, peu de permanences d’écoute sont dédiées aux femmes étrangères victimes de violences conjugales. L’emprise qu’elles subissent est pourtant exacerbée. D’abord parce qu’elles sont mal informées de leurs droits, mais aussi car les institutions françaises ne les protègent pas toujours. À La Cimade, association qui défend les droits des réfugiés et des migrants, Violaine …

« Monsieur risque de se retrouver un jour dans la rubrique faits divers » : un Lillois condamné à 18 mois de prison pour violences conjugales

Le 26 mars s’est tenu au tribunal correctionnel de Lille un procès pour violences conjugales où les deux parties tenaient des versions différentes. Aidée par la constance de ses déclarations, et les preuves médico-légales du dossier, la victime, Zhour E. a obtenu gain de cause. En septembre 2020, la police de Lille est appelée par …

La vie après les violences conjugales : « J’ai peur tout le temps »

Pour les femmes victimes de violences conjugales, la séparation ne signifie pas nécessairement la fin du calvaire. Sandrine, 41 ans, partie du domicile conjugal il y a un an, raconte la peur qui perdure et dénonce le harcèlement que lui ferait subir son ancien compagnon. Le dimanche 10 mai 2020, Sandrine s’en souvient comme si …

Dans l’ombre des statistiques, les femmes lesbiennes seules face aux violences conjugales

Si 97% des appels recensés en 2018 par le 3919 concernent les couples hétérosexuels, et une majorité d’hommes auteurs, les violences conjugales peuvent aussi toucher les femmes lesbiennes, pour qui la prise en charge est quasi inexistante. Ça s’est terminé au bout de deux ans par une tentative d’assassinat. » Louise* avait 17 ans le …