A propos de l'auteur

avatar

Rompre l'Emprise

Showing: 11 - 20 of 24 Articles

Emprise économique, le tabou des violences conjugales

En 2019, Marlène Schiappa annonçait un projet de loi sur l’émancipation économique des femmes. Il a été remisé suite à l’épidémie de coronavirus. La maltraitance économique reste méconnue du public, contrairement aux violences physiques et psychologiques.  Crédits : Sativa Interdiction d’accès au compte joint, reproches liés aux dépenses, confiscation de la carte bleue… « On …

Réapprendre à aimer après huit années de violences conjugales – podcast

« A 24 ans, j’ai découvert ce que c’était d’être libre, de pouvoir regarder des garçons dans la rue sans me dire que je suis une salope » Marie Gervais à propos de Thomas, ancien compagnon violent. Dans ce podcast, Marie Gervais, victime de violences conjugales revient sur son expérience, racontée dans son livre Il me tue …

Ernestine Ronai : « Protéger l’enfant plutôt que le père agresseur »

A 73 ans, Ernestine Ronai est une pionnière de la lutte contre les féminicides en France. Elle préside aujourd’hui l’Observatoire des violences faites aux femmes de Seine-Saint-Denis et elle est co-présidente de la Commission violences du Haut conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes. Dans une vie antérieure, elle fut aussi institutrice et …

Avec SOLFA, deux ans de progrès dans la prise en charge des victimes à Douai

L’unique centre d’accueil de jour pour femmes violentées de Douai a été  créé il y a près de deux ans, par Solfa. Depuis juillet 2020, des hébergements  d’urgence sont proposés dans l’agglomération. Selon des femmes  accueillies, cette association leur « a sauvé la vie ». Reportage. Un lundi printanier, aux alentours de 11 heures, la …

Dans l’ombre des statistiques, les femmes lesbiennes seules face aux violences conjugales

Si 97% des appels recensés en 2018 par le 3919 concernent les couples hétérosexuels, et une majorité d’hommes auteurs, les violences conjugales peuvent aussi toucher les femmes lesbiennes, pour qui la prise en charge est quasi inexistante. Ça s’est terminé au bout de deux ans par une tentative d’assassinat. » Louise* avait 17 ans le …